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Émission du 2 avril 2024. C'est avec Olivier Houzet, maire de Saint-Quay-Perros dans les Côtes d'Armor, que Nathalie Villalon vous propose de passer cette semaine de Destination commune.

Émission du 2 avril 2024. Timothée qui écoute Bretagne 5 à Pacé, voudrait savoir quand il peut planter des petit pois ridés Kelmerveil et des carottes variété nantaise.

Vous pouvez envoyer vos questions à Christophe Hamon en utilisant le formulaire de contact sur le site de Bretagne 5 : www.bretagne5.fr

Chronique du 2 avril 2024. Ce mardi, Frédéric Koster vous recommande la lecture du dernier volet de la trilogie de Juan Gómez-Jurado "Roi Blanc", paru chez Fleuve Noir.

Émission du 2 avril 2024. Pour le Quinté+ de ce mardi 2 avril 2024 qui se court sur l'hippodrome de Fontainebleau, dans le Prix de la Forêt de Fontainebleau, Patrick Uphard vous propose le pronostic suivant :

2 Kléora
7 Terredeguerre
6 Rosanne Du Gouet
9 Aversa
11 Manarola
10 Sassica

A noter que le 3 Freja est non partante.

Émission du 1er avril 2024. Cette semaine dans Lecture(s) en liberté Denis Flagueul poursuit la lecture de "Leurs enfants après eux", de Nicolas Mathieu. Ce lundi, Denis vous propose la lecture de la sixième partie de ce récit.

Émission du 1er avril 2024. Le Concerto pour piano en la mineur de Robert Schumann est achevé en 1845. Il s’agit du seul concerto pour piano terminé par le compositeur. L'œuvre fut créée à Dresde le 4 décembre 1845 par Clara, la femme du compositeur, au piano, et Ferdinand Hiller, dédicataire de la pièce qui fut reprise à Leipzig, le 1er janvier 1846, sous la direction de Felix Mendelssohn.
En 1841, Schumann écrit une Phantasie pour piano et orchestre, conçue selon ses termes comme « un juste milieu entre symphonie, concerto et grande sonate ». C'est cette Phantasie qui deviendra, quatre ans plus tard, le premier mouvement de son concerto. Le concerto n'eut pas un succès immédiat, l’œuvre n’ayant pas été conçue comme un morceau de bravoure. En effet Schumann, dont la main droite était endommagée depuis déjà plus de 10 ans s'était écarté de toute virtuosité démonstrative dans ses œuvres. Il avait d'ailleurs confié dès 1839 à sa fiancée, Clara : « Je ne peux pas écrire de concerto de virtuose ; il faut que j'imagine autre chose ».
C'est Clara Haskill, que nous écoutons dans son interprétation du concerto pour piano de Robert Schumann, accompagnée par l’Orchestre philharmonique de la Hague sous la direction de Willem van Otterlo en 1956.
Clara Haskil que l’on appelait « la grande dame de la musique » , était une pianiste roumaine et suisse, qui vécut de 1895 à 1960. Prodige dès l’enfance elle dut cependant affronter une carrière épuisante avec une santé fragile, allant même jusqu’à frôler la mort à deux reprises ce qui la contraignit quitter la vie musicale momentanément. A son retour, le public fut frappé par le contraste extraordinaire entre son apparition sur scène et son jeu. Celle qui avançait d’un pas lent, le dos courbé par la scoliose, se retrouvait métamorphosée au contact du piano, subjuguant son public. Son ami Charlie Chaplin déclarait : « : « J'ai connu trois génies dans ma vie : Einstein, Churchill et Clara Haskil ».

Émission du 1er avril 2024. Ce lundi, Marie Mesmeur, militante LFI, candidate La France insoumise pour les élections européennes, invitée politique de la matinale de Bretagne 5, détaille les grandes lignes du programme pour les européennes de la France Insoumise.
L'agriculture, la pêche, la souveraineté alimentaire, les défis de l'Europe face au changement climatique, la construction de l'Europe sociale, ou encore le fonctionnement de l'Union européenne, sont autant de sujets que les Insoumis entendent défendre lors de cette campagne pour les Européennes.
Marie Mesmeur, revient également sur le projet de réforme de l'assurance-chômage et le déficit public de la France qui a atteint 5,5% du PIB en 2023, rappelant que la France insoumise est favorable à une taxation des super-profits des grosses entreprises pour renflouer les caisses de l’État.

Chronique du 1er avril 2024. Aujourd'hui Alessio Barazer-Rittore vous propose un exercice pratique sur la base de ce que nous avons vu la semaine dernière, à savoir si nous sommes contraints à toutes et tous finir en vieille-garde, en analysant ensemble les discours qui ont étés tenus sur une double hypothèse : que lors de la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Paris soit jouée la chanson "L'Hymne à l'amour" d’Édith Piaf, et que celle-ci soit interprétée par la chanteuse Aya Nakamura. Stupéfaction, horreur dans les chaumières, certains ne semble pas être près à ouïr ses vocalises. Mais pourquoi ces cris d'orfraies ?