Aya Nakamura
Chronique du 1er avril 2024. Aujourd'hui Alessio Barazer-Rittore vous propose un exercice pratique sur la base de ce que nous avons vu la semaine dernière, à savoir si nous sommes contraints à toutes et tous finir en vieille-garde, en analysant ensemble les discours qui ont étés tenus sur une double hypothèse : que lors de la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Paris soit jouée la chanson "L'Hymne à l'amour" d’Édith Piaf, et que celle-ci soit interprétée par la chanteuse Aya Nakamura. Stupéfaction, horreur dans les chaumières, certains ne semble pas être près à ouïr ses vocalises. Mais pourquoi ces cris d'orfraies ?
